Comment interpréter un Rapport de Test de Paternité ADN d’International Biosciences
Le rapport du test montre les résultats de tests ADN de laboratoire qui donne la preuve en ce qui concerne le lien familial présumé. Ceci est une courte explication de la signification des chiffres (c’est-à-dire la certitude statistique du résultat) et autres points qui apparaissent dans un rapport de test ADN.
L’analyse de laboratoire compare l’ADN isolé des échantillons de l’intérieur de la joue pour localiser certaines régions de chromosomes où on sait il y existe des variations de longueurs entre des individus. des ces sites sont testés ; chaque site s’appelle un « locus » (pluriel « loci »). L’analyse de ces vingt-quatre sites dans une grande population a révélé beaucoup de variations associées avec chaque site. Les versions d’une séquence ADN ou un gène s’appellent « allèles ». Ceux-ci sont les marqueurs génétiques * utilisés dans l’analyse de parenté.
Comme chaque individu a deux de chaque type de chromosome, un hérité de chaque parent, tout le monde a deux allèles à chaque locus. Ces deux allèles sont parfois identiques (homozygotes), mais le plus souvent ils ne sont pas de la même taille (hétérozygotes). Pendant le test de parenté ADN le laboratoire identifie la longueur des deux allèles qui se trouvent à chaque locus.
Le rapport de test ADN que vous recevrez montre des chiffres (dans la première colonne) qui indiquent chacun de vingt-quatre loci utilisé pendant la procédure de test ADN
Les colonnes libellées « allèle » sur le rapport du test contiennent des chiffres qui indiquent les allèles qui se trouvent à chaque locus (ou un numéro s’ils sont de la même taille).
Si, par exemple, un enfant a deux allèles qui sont désignés 12.1 et 18, et si la mère possède les allèles 12.1 et 16, l’enfant a, donc, hérite l’allèle 12.1 de la mère. L’enfant a dû hérite l’allèle 18 du père. L’allèle 18 est « l’allèle paternel obligé ». Généralement le père présumé, doit posséder cet allèle s’il est le père biologique de l’enfant.
Vingt-trois loci sont utilisés comme des marqueurs génétiques dans les tests ADN, aussi bien qu’un autre (Amélogenin) pour confirmer le sexe de la personne qui soumet l’échantillon ADN. Si le père présumé n’a pas d’allèle correspondant à chaque locus testé, alors il ne peut pas généralement être le père biologique. S’il l’a, alors il se pourrait qu’il soit le père. Un index de parenté (nommé « Direct Index » sur le rapport) pour chaque locus est calculé sur la base d’information y compris la part de la population mâle qui possède l’allèle obligé à ce locus là. Cet index est rapporté pour chaque locus ADN
Un index de lien de parenté combiné (« Direct ») pour tous les allèles testés est ensuite calculé et apparaît en dessous du tableau. Ce chiffre est utilisé pour calculer la « probabilité du lien de paternité», c’est le pourcentage qu’un homme avec les allèles du père présumé est le parent biologique de l’enfant, comparé à un homme non testé, sans lien de parenté de la même race. Si l’ADN du père est constant (à un degré de certitude mathématique) avec celui de père, le rapport conclura, donc que le père présumé ne peut pas être exclu comme père biologique de l’enfant. Si l’ADN n’est pas constant, cependant, le rapport conclura que le père présumé peut être exclu comme le père biologique de l’enfant.
* Chaque locus utilisé lors d’un test ADN est composé d’une quantité variable de séquences courtes répétées des blocs de construction ou « bases » ADN. Ceux-ci s’appellent en sténo « A », « C », « T » et « G ». Un exemple d’une séquence naturelle d’ADN possédant des séquences répétées courtes serait ACGACGACGACG, c’est-à-dire ACG)4. Cependant chaque allèle peut posséder une autre quantité de répétitions totales, par exemple ACG)3 ou (ACG)5 au lieu de (ACG)4, ce qui donne une longueur différente de fragment quand l’ADN est purifié et amplifié dans l’éprouvette. Dans cet exemple, (ACG)3, (ACG)4 et(ACG)5 encoderait des allèles variants avec des blocs de construction de 3 x 3, 4 x 3, et 5 x 3 c’est-à-dire 9, 12, et 15 longueurs de blocs de construction. Puisque les machines d’analyse ADN détectent des changements en longueur d’une seule unité, il est facile de distinguer entre ces différences de longueur.